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2 et 3
«Rénovation
des carrières», PPCR
Lettre
de la FNEC FP FO à la ministre
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4
EREA,
Courrier commun à la ministre
Ille-et-Vilaine,
EREA
de Redon
Motion lue au Conseil
d’Administration du 28 juin 2016
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6
Pour
le recrutement immédiat des «listes complémentaires»
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Vaucluse,
rythmes scolaires
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8
Journal
stagiaires 2016
Garantie
Individuelle de Pouvoir d’Achat (GIPA)
Annexes
Arrêté
et décret du 27 juin GIPA
Communiqué
du SNUDI FO sur exeat
Communiqué
FNEC FP-FO réemploi et titularisation
des personnels précaires
des personnels précaires
Communiqué
CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL et FIDL
Site
FOH : après la rencontre avec M. Valls
Lu
au JO
«Rénovation
des carrières», PPCR
Lettre
de la FNEC FP-FO au directeur
de cabinet de la ministre
de cabinet de la ministre
Montreuil,
le 24 juin 2016
Monsieur
le directeur de cabinet,
Vous
nous avez proposé de vous adresser nos remarques suite aux deux
réunions de groupes de travail sur la «rénovation des carrières»
qui visent à transposer les principes du PPCR dans l’Éducation
nationale.
Comme
vous le savez, l’UIAFP FO (Union Interfédérale des Agents de la
Fonction Publique), qui couvre les trois versants de la fonction
publique avait décidé de ne pas signer le protocole proposé, qui
n’avait d’ailleurs pas recueilli le soutien des organisations
syndicales majoritaires (FO, CGT, Solidaires).
Dans
le cadre des discussions engagées, nous vous adressons un certain
nombre de remarques et de demandes, même si le cadre d’ensemble,
notamment en matière de revalorisation des grilles de classe
normale, nous semble très insuffisant, eu égard à la perte de
pouvoir d’achat depuis 2010, que notre fédération de
fonctionnaires chiffre à 2900 euros par an en moyenne pour les
catégories A.
Nous
voulons souligner ici un certain nombre de problèmes concernant les
catégories dont la situation a été examinée dans le premier
groupe de travail.
Les
instituteurs devront, de fait, se contenter d’une amélioration
indiciaire minime, les trois quarts des personnels étant
actuellement au 11ème
échelon, un grand nombre sera parti en retraite d’ici 2020. Les 19
points annoncés ne les concerneront pas. La seule solution serait la
mise en place de l’équivalent d’une hors classe, avec des taux
de
promotion qui leur permettent de bénéficier de l’indice terminal selon un délai suffisant pour en bénéficier lors de leur départ en retraite.
promotion qui leur permettent de bénéficier de l’indice terminal selon un délai suffisant pour en bénéficier lors de leur départ en retraite.
Une
intégration sans l’accord des intéressés dans le corps des PE
n’est pas la solution dans la mesure où elle leur ferait perdre
leurs droits en matière de logement...
La
situation n’est pas identique pour les 92 adjoints d’enseignement.
Leur intégration dans le corps des certifiés se traduirait par une
amélioration indiciaire sans dégradation par ailleurs. Beaucoup
risquent d’être partis en retraite d’ici 2020 et ne pas tirer
bénéfice des 20 points supplémentaires annoncés au 11ème
échelon.
La
revalorisation des bi-admissibles à l’agrégation ne concernera
que les personnels en position dans la grille des bi-admissibles au
31 août 2017. Nous demandons que la bi-admissibilité à
l’agrégation continue à être reconnue. Ce que vous prévoyez en
l’état pour les futurs bi-admissibles se traduirait par une
dégradation.
Nous
ne comprenons pas que la situation des professeurs de chaires
supérieures ne soit pas examinée avec les autres corps de
l’enseignement secondaire. Nous ne souhaitons pas que cette
dissociation ouvre la voie à un rattachement à l’Université.
Nous
souhaitons également reprendre ici les remarques que nous avons
faites lors du groupe de travail sur la classe exceptionnelle.
La
promotion à ce grade affiche une progression importante pour
l’indice terminal des certifiés, des professeurs des écoles, des
P.EPS, des CPE, des PLP, beaucoup moins pour celui des agrégés.
Encore
faut-il, qu’au-delà des effets d’annonce, la possibilité
effective d’accéder à ces indices soit offerte aux collègues.
Selon
les chiffres que vous avez vous-mêmes confirmés en séance, il
faudra, dans le meilleur des cas, 38 ans de carrière aux collègues
promus remplissant les « fonctions identifiées » pour l’atteindre.
Cela sans parler des collègues promus au titre des parcours dits
exceptionnels. Pour la grande majorité de nos collègues l’accès
à la hors-échelle A risque d’être tout simplement impossible, ne
serait-ce que du fait de la durée de carrière. Le contingentement
du dernier échelon à 30% des effectifs du grade constitue un
obstacle supplémentaire. Notre Fédération Générale des
Fonctionnaires demande la suppression du contingentement de l’échelon
spécial du sommet de grade, et nous faisons nôtre cette
revendication à l’Éducation nationale.
En
outre, la décision de réserver 80% des promotions à une liste de
«fonctions identifiées» rencontre notre complète opposition. Le
fait d’enseigner devant les élèves, pour une immense majorité de
professeurs dans des conditions de plus en plus difficiles (effectifs
dans les classes, interventions sur plusieurs établissements etc.)
mérite autant de reconnaissance que le fait d’enseigner en
éducation prioritaire, ou d’exercer des missions de formateurs.
Nous
avons posé la question, lors du groupe de travail, des conséquences
que vous en tirez pour les statuts particuliers. Vous avez répondu
que les promotions au titre du parcours seraient plafonnées à 20%.
C’est la pire des solutions.
D’une
part cela divise les corps entre «méritants» et les autres, la
grande majorité des collègues. D’autre part, compte tenu des
effectifs que vous nous avez fournis, d’ici 4 ans le nombre de
promotions possibles risque, de fait, de devenir dérisoire. La
quasi-totalité des personnels qui remplissent les conditions liées
aux fonctions sera promue sans un renouvellement équivalent.
De
plus pour les certifiés, PLP, P.EPS, CPE, Agrégés, la montée en
charge prévue (qui renvoie d’ailleurs aux deux prochaines
législatures) ne serait plus que de 0,62% par an, ce qui sera une
deuxième source de blocage.
Nous
demandons donc l’abandon de cette double liste qui fait de la
«classe exceptionnelle» de fait un grade fonctionnel et crée une
situation d’injustice flagrante, et qu’en tout état de cause il
n’y ait aucune formulation dans les statuts particuliers qui aille
dans ce sens.
Veuillez
agréer, Monsieur le directeur, de toute ma considération
Hubert
Raguin, secrétaire général
EREA
Courrier
commun à la ministre
A
Madame Najat VALLAUD-BELKACEM Ministre
de l’Education Nationale, de l’Enseignement
Supérieur et de la Recherche
Supérieur et de la Recherche
110
rue de Grenelle 75357 Paris 07 SP
Paris,
le 29 juin 2016
Madame
la Ministre,
Le
16 juin dernier, vous avez enfin ouvert des discussions sur le
fonctionnement des EREA avec pour objectif de produire une nouvelle
circulaire précisant notamment la place et le rôle de l’internat
éducatif, les publics accueillis et les missions des personnels. Or,
depuis plusieurs mois, suite à la publication d’une note de
service en octobre 2015 et son addendum en janvier 2016, et sans se
soucier des discussions à venir, vos services académiques ont déjà
décidé de l’avenir des EREA en supprimant plus de 63 postes de PE
éducateurs pour les remplacer par des Assistants d’éducation non
formés.
Outre
que ces décisions jettent le trouble sur la nécessité d’un
dialogue social franc et constructif, elles vont à l’encontre du
bon fonctionnement des internats éducatifs qui accueillent des
jeunes en décrochage scolaire. Ces annonces de suppressions de
postes ont d’ailleurs donné lieu à de nombreuses mobilisations
des personnels attachés au bien- être et à la réussite de leurs
élèves.
D’un
côté, vous ne pouvez pas laisser s’installer dans certaines
académies, des nouveaux fonctionnements au sein des internats
éducatifs des EREA et de l’autre au niveau national, proposer,
après coup, un groupe de travail pour en discuter.
Madame
la Ministre, il est encore temps de reprendre le fil d’un dialogue
social apaisé au service de l’amélioration de notre système
éducatif. En premier lieu, l’heure doit être aux discussions pour
aboutir à la parution d’une nouvelle circulaire renforçant le
rôle de l’enseignement adapté des EREA et reconnaissant les
missions des personnels.
Entre
temps, nous vous demandons de suspendre la note de service et son
additif et de revenir sur les suppressions de postes qui en ont été
la conséquence. Cela ne pourra que se traduire par la nomination
d’enseignants spécialisés ou volontaires et par la conservation
des priorités liées à la fermeture prévue d’un poste par ceux
qui le souhaitent.
Veuillez
recevoir, Madame la Ministre, l’expression de nos salutations
respectueuses.
Sébastien
SIHR Secrétaire
Général SNUipp- FSU, Frédérique
ROLET Secrétaire
Générale SNES-FSU
Jérôme
DAMMEREY Co-Secrétaire
Général SNUEP-FSU, Sabine
DURAN
Co-Secrétaire Fédérale SUD
Education
Education
Norbert
TRICHARD Secrétaire
Général SNUDI-FO, Patrick
DESIRÉ Secrétaire
Général UNSEN-CGT Educ’Action
Ille-et-Vilaine
EREA
de Redon
Motion lue au
Conseil d’Administration du 28 juin 2016
A
ce jour, les enseignements adaptés dispensés en EREA répondent aux
besoins des élèves en difficultés scolaires et sociales grandes et
durables.
Les
enseignant-es PE, PLP, ainsi que tous les membres de la communauté
éducative (agents, personnel médico-social, personnel
administratif) s’attachent à redonner confiance et à émanciper
des élèves en souffrance dans notre système éducatif, à lutter
contre le décrochage scolaire, par la mise en place d’aides
individualisées et l’élaboration d’un parcours professionnel.
La
particularité de l’EREA est de proposer un accueil et un
hébergement éducatif au sein d’un internat éducatif, dont
l’encadrement est assuré par des personnels enseignants formés au
traitement de la difficulté scolaire.
Pour
la rentrée de septembre 2016, une note ministérielle préconise de
confier les missions de surveillance de l’internat éducatif à des
AED.
La
mise en oeuvre de cette note ministérielle se traduit au niveau de
l’académie de Rennes par trois décisions du recteur :
1.
le
recrutement d’AED
pour assurer la surveillance des dortoirs pendant la nuit
2.
la
suppression de deux postes d’enseignants
(des professeurs des écoles faisant fonction d’enseignant-éducateur
en internat)
3.
une
requalification des missions
des professeurs en internat, et de leurs obligations de service.
A
l’EREA Jean Bart, cette modification du fonctionnement de
l’internat éducatif se traduirait ainsi sur la scolarité des
élèves accueillis :
-
moins
d’enseignants
pour leurs apprentissages
-
moins
de temps consacré à l’aide personnalisée,
au projet professionnel de l’élève
-
moins
d’activités éducatives
et péri-scolaires
-
encadrement
par du personnel non-formé
et précaire (des AED)
-
multiplicité
de référents
auprès d’élèves en difficulté qui nécessitent de la stabilité.
Dans
les EREA où ces modifications sont déjà effectives (par exemple
celui de Chambéry), le bilan de ces orientations confirme les
dangers de cette réforme, qui n’aide en rien à une meilleure
réussite des élèves:
-
encadrement assuré par des personnels précarisés, non formés à
la prise en charge des élèves
-
instabilité de l’équipe d’internat
-
diminution du suivi pédagogique et éducatif.
Toutes
ces conséquences sont contraires aux objectifs affichés de la
réforme du collège qui doit entrer en vigueur, et dont l’objectif
principal est la
réussite pour tous les élèves.
Elles
vont aussi impacter environ 250 collégiens et 300 lycéens
accueillis dans les 4 autres EREA bretons (qui sont également
concernés par des suppressions de postes d’enseignants
d’internat).
Il
est donc inacceptable de voir sacrifier pour des raisons d’économies
budgétaires, des jeunes, issu-es pour une grande majorité des
classes sociales les plus défavorisées.
Nous,
personnels et membres de la communauté éducative de l’EREA Jean
Bart, refusons la suppression envisagée de deux postes
d’enseignants, et refusons le démantèlement de l’enseignement
adapté qui en découlerait.
L’internat
éducatif étant la spécificité même des EREA, car ayant un rôle
essentiel dans la construction de l’élève, doit fonctionner avec
des PE enseignants-es éducateurs-trices formés-ées, inscrits-es
dans la durée et dans le projet d’établissement.
Leur
remplacement par des AED est une erreur qui met à mal le principe
même de l’adaptation scolaire. Cette annonce tardive est imposée
dans la précipitation, sans concertation, alors que la qualité et
la pertinence de l’action éducative menée auprès de nos élèves
étaient soulignées par une mission d’observation effectuée à
l’EREA il y a un an.
Nous
revendiquons le maintien des 12 postes de PE enseignants-éducateurs
et de leurs missions, une politique volontariste et ambitieuse à
destination des élèves les plus en difficulté, et une
réaffirmation du rôle prépondérant joué par les EREA.
Nous
demandons que le recteur fasse de nouvelles propositions en ce sens.
Le
SNUDI-FO invite tous les personnels des EREA à discuter de
l’initiative de la FNEC FP-FO de l’Ain qui le 23 juin a adressé
à la Ministre, à la Rectrice de l’académie de Lyon et au
Directeur académique un préavis de grève pour les personnels de
l’EREA de Bourg en Bresse du 1/09/2016 au 16/09/216
“Compte
tenu de l’absence de réponse apportée aux revendications des
personnels lors du GT ministériel EREA du 16 juin 2016. Compte tenu
que la rentrée est impossible en l’état à l’EREA de Bourg en
Bresse (remise en cause de la prise en charge globale du décrochage
scolaire assurée à l’EREA par des enseignants fonctionnaires
d’état sur tous les temps de la semaine (classe, atelier et
internat), renouvellement complet de l’équipe de direction qui ne
sera pas en poste avant le 31/08/2016). Au nom des syndicats de notre
fédération, nous avons l’honneur de vous informer que tous les
personnels enseignants, administratifs, direction, personnels de la
vie scolaire, personnels sociaux et de santé de l’EREA Philibert
Commerson de Bourg en Bresse sont appelés à faire grève du jeudi
1er septembre 2016 au vendredi 16 septembre 2016”
Pour
le recrutement immédiat des «listes complémentaires»
A
Paris, comme dans d’autres départements déficitaires à la
rentrée prochaine, le ministère refuse à cette étape d’autoriser
le recrutement sur la liste complémentaire du CRPE (voir communiqué
ci-dessous),
préférant recruter des contractuels afin de pourvoir les postes vacants.
préférant recruter des contractuels afin de pourvoir les postes vacants.
Si
vous êtes dans la même situation dans votre département,
pouvez-vous faire remonter au SN les données (nombre de listes
complémentaires 2016-2017, nombre de stagiaires recrutés 2016-2017,
nombre de contractuels recrutés en 2015-2016, situation en
personnels à la rentrée (déficit…))
Aux
inscrits sur la liste complémentaire du CRPE Paris
Vous
nous avez contactés au sujet de la liste complémentaire du CRPE
Paris 2016.
Cette
année, il y a eu 351 lauréats au concours et 71 inscrits sur la
liste complémentaire.
Le
SNUDI FO 75 est intervenu hier auprès du rectorat afin d’interroger
le Directeur Académique sur les intentions de l’Académie au sujet
des listes complémentaires.
Il
nous a été répondu que «Pour
le moment le ministère ne permet pas d’utiliser les listes
complémentaires pour les enseignants manquants à Paris. Les listes
complémentaires ne seront appelés que pour les défections de la
liste principale.»
Autant dire que ce sera très à la marge.
Parallèlement
à cela, le DASEN a d’ores et déjà annoncé qu’il recruterait
des contractuels dès la rentrée de septembre 2016 afin de couvrir
les besoins de l’Académie (en effet, il n’y a pas assez
d’enseignants sur Paris pour pouvoir placer un enseignant sur
chaque poste).
Cette
réponse de l’administration est inadmissible !
Comment
comprendre qu’il ne soit pas fait appel à la liste complémentaire
(permettant ainsi de placer des enseignants en formation devant
classe) et que la solution envisagée soit de placer des contractuels
précaires et sans aucune formation devant les classes ?
Certaines personnes qui y sont inscrites ont d’ailleurs déjà reçu
un avis favorable pour être contractuel !
Le
SNUDI FO 75 va envoyer un courrier au DASEN et s’adresser par
ailleurs au ministère sur cette question afin de demander que tous
les inscrits sur la liste complémentaire soient
appelés !
appelés !
L’an
passé grâce à l’action de notre syndicat, l’Académie de Paris
les avait finalement tous recrutés.
Afin
d’envisager ensemble les suites donner à notre action, nous vous
invitons à participer à la réunion que le SNUDI FO 75 organise
Le
vendredi 1er
juillet à 16h au
local du syndicat
131
rue Damremont, 75018
M°
Porte de Clignancourt ou Jules Joffrin
Par
ailleurs, n’hésitez pas à
informer toutes les listes complémentaires
avec lesquelles vous êtes en contact de cette réunion, à leur
proposer d’y venir et/ou de nous envoyer un mail afin que nous
puissions constituer une liste de contacts.
Il
est essentiel que nous soyons le plus nombreux possible afin de
construire le rapport de force avec l’administration et le
ministère !
Vaucluse,
rythmes scolaires
CHS-CT :
une enquête édifiante sur les conséquences des nouveaux rythmes
scolaires...
« Le
Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de travail
départemental a réalisé une enquête sur les nouveaux rythmes
scolaires via la messagerie professionnelle. 547 collègues sur 3 042
ont répondu (18 %), un nombre significatif si l’on songe que
beaucoup de collègues n’utilisent pas cette messagerie obsolète
dont les boîtes saturent vite vu leur faible capacité (77 % des
collègues n’ont pas ouvert le mél).
Voici
quelques résultats (attention : le pourcentage entre parenthèses
est calculé sur le nombre de réponses, tous les collègues n’ayant
pas répondu à toutes les questions).
455
collègues (83 % des réponses) ressentent une dégradation de leurs
conditions de travail.
411
collègues (75 %) disent passer plus de temps à l’école quelle
que soit l’organisation de la semaine scolaire.
436
collègues (80 %) ont constaté une augmentation de leur temps de
travail estimée entre 2 et 4 h par semaine pour 257 d’entre eux, 4
et 6h pour 86 et plus de 6h pour 20.
Le
ressenti quant à l’évolution des conditions de travail, de
stress, de fatigue, de santé et l’impact sur la vie personnelle et
familiale est majoritairement jugé comme très négatif ou négatif.
195 collègues (34%) estiment que c’est leur santé qui est la plus
impactée par les nouveaux rythmes scolaires.
107
collègues de maternelle (50%) constatent une diminution de la
présence de l’ATSEM.
353
collègues (64 %) ont encore actuellement à gérer les
questionnements ou les mécontentements des parents quant au péri
scolaire.
L’utilisation
de la salle de classe pour les activités périéducatives a un
impact négatif sur les conditions de travail pour 221 collègues sur
292 (76 %).
Sur
136 collègues assurant un service de cantine et/ou d’étude avant
la réforme sur les rythmes scolaires, 38 n’ont plus cette
possibilité d’avoir un complément de salaire.
Pour
le SNUDI-FO, cette contre-réforme doit être abandonnée et le plus
tôt sera le mieux. »
Journal
stagiaires 2016
Vous
avez dû passer, dans le cadre fédéral, commande pour les journaux
stagiaires.
Ils
devraient arriver dans les UD la première quinzaine de juillet.
Pensez
d’ores et déjà à organiser la diffusion lors de l’accueil des
stagiaires qui, la plupart du temps, se passe la dernière semaine
d’août.
Garantie
Individuelle de Pouvoir d’Achat (GIPA),
«Flash
Info» de la FGF-FO
Vous
trouverez en annexe à cette LSN l’arrêté du 27 juin ainsi que le
décret du 27 juin cités dans cette note
Ci-joint*
l’arrêté du 27 juin 2016 (JO du 28 juin) concernant les éléments
à prendre en compte pour le calcul de l’indemnité de Garantie
Individuelle de Pouvoir d’Achat (GIPA) dans la fonction publique au
titre de l’année 2016. Vous trouverez également en PJ le décret
n°2016-845 du 27 juin 2016 modifiant le décret n°2008- 539 du 6
juin 2008. Pour 2016, seuls peuvent bénéficier de la GIPA, au titre
de la période de référence allant du 31 décembre 2011 au 31
décembre 2015 les fonctionnaires qui ont atteint :
depuis
4 années l’indice sommital de leur corps ou cadre d’emplois,
Ou
ceux
qui ont atteint depuis 4 années l’indice sommital du premier grade
ou d’un grade
intermédiaire de leurs corps ou cadre d’emplois. Pour mémoire, le calcul de la GIPA ne prend pas en compte : l’indemnité de résidence, le supplément familial de traitement, la NBI, les heures supplémentaires et
intermédiaire de leurs corps ou cadre d’emplois. Pour mémoire, le calcul de la GIPA ne prend pas en compte : l’indemnité de résidence, le supplément familial de traitement, la NBI, les heures supplémentaires et
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